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bonjour,
je recherche une perle rare . une boularde bleue agate perdue au lycée . valneva .
Par Anonyme, le 13.11.2022
un duomot est formé de deux mots de même sens. ce qui n'est absolument pas le cas de la plupart des exemples c
Par Anonyme, le 03.06.2022
avant de prendre les images sur d'autres sites ou forum ce serait cool de demander la permission. merci !
Par Anonyme, le 08.11.2021
bien
Par Anonyme, le 21.07.2020
les couples legendaire
Par Anonyme, le 06.10.2019
Date de création : 14.01.2009
Dernière mise à jour :
29.01.2013
1725 articles
Bel Automne vient plus souvent
que Beau Printemps...
Qui veut être aime
qu'il aime...
Feu de la Saint-Jean…
On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean
marquaient autrefois le début de l’été. Mais d'où vient réellement cette tradition?
Le 21 ou le 24 juin ?
On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean marquaient autrefois le début de l’été. En fait, ils avaient lieu dans la nuit du 23 au 24 juin ou du 24 au 25 juin selon les lieux, le 24 juin étant le jour de la Saint-Jean, donc en léger décalage avec le solstice d’été.
S’ils ont toujours été peu fréquents dans le Maine, la Bourgogne, la Franche-Comté, la Champagne et les Ardennes, ces feux de joie étaient réalisés chaque été dans la plupart des communes du reste de la France. Ils se sont maintenus jusqu’à la Première Guerre mondiale, parfois jusqu’à la Seconde, qui leur a donné un coup d’arrêt définitif.
Un grand feu à voir de loin !
Dans certaines régions, chaque ferme faisait son petit feu. Mais la règle générale était la réalisation d’un grand feu de joie commun qui devait se voir le plus loin possible. Dans les plus humbles villages, la veille ou le jour de la Saint-Jean, tous les gens de la commune apportaient le soir venu, à l’endroit désigné, des fagots de brindilles, des branches mortes, des combustibles divers que l’on empilait en tas, dans la gaieté générale.
Parfois, on entassait tous ces matériaux autour d’un grand arbre coupé et fiché là depuis quelques semaines. Le sommet en était alors souvent décoré de fleurs en bouquet, en couronne ou en croix.
Qui allumait le feu ?

L’Eglise a toujours eu une regard mitigé sur ces feux qui datent de la nuit des temps. Tantôt elle s’en sert pour organiser des processions et christianiser cette fête populaire à travers le culte de Jean le Baptiste, tantôt elle tente d’interdire les feux de la Saint-Jean comme “entachés de superstitions”. Dans certains lieux, c’était donc le curé qui allumait le bûcher. Dans d’autres en revanche, c’était celui qui l’avait construit, ou bien le maire, le syndic, la personne la plus âgée du village, une jeune fille (les familles se battaient parfois pour que leur fille ait cet honneur), ou bien encore les derniers mariés de la commune…
Que faisait-on autour du feu ?

Des danses bien sûr, car cette fête était d’abord l’occasion pour la jeunesse du pays, garçons et filles, de se retrouver et de se plaire… Mais tourner autour du bûcher avait un sens quasi magique, variable selon les régions. Dans l’Oise, les mamans tournaient trois fois autour avec leur nouveau-né dans les bras pour lui porter chance. En Bresse, quatorze fois “pour être assuré de ne jamais avoir mal aux reins”. Dans la Creuse, on en faisait le tour neuf fois si on voulait trouver femme ou mari. “Aussitôt que les flammes pétillaient, tous les assistants, jeunes et vieux, se prenaient par la main et se mettaient à danser des rondes autour de la jônée. Les jeunes filles surtout se livraient à cet exercice avec beaucoup d’entrain, car elles savaient qu’en dansant ainsi neuf fois autour des feux de la Saint-Jean, elles se marieraient infailliblement dans l’année.
Les rites magiques autour des feux de Saint-Jean

Des superstitions et croyances magiques étaient liées à ces feux de joie. Dans la Creuse et le Poitou par exemple, on jetait des pierres dans le brasier pour les récupérer ensuite et de les placer dans les champs de raves : plus grosses étaient les pierres, plus grosses seraient les raves ! En Touraine, en Limousin ou dans le Haut-Poitou, on y jetait des pierres marquées d’une croix pour que “la bonne Vierge vienne s’asseoir sur la plus jolie des ces pierres, de sorte que le lendemain on y voit de ses beaux cheveux d’or”. A Metz, on faisait brûler des bouquets d’armoise pour éviter les maux de reins des moissons. Pour obtenir le même résultat, on pouvait dans certaines régions se faire balancer au-dessus du feu. Dans les Charente, balancer son petit enfant au-dessus du feu neuf fois, c’était lui assurer une croissance rapide. En Gironde, celui qui voulait avoir de l’argent toute l’année devait tourner autour du feu de la Saint-Jean en y jetant une pièce, qu’il lui fallait retrouver dans les cendres une fois le feu éteint et conserver précieusement. En Bretagne, pays où les morts sont toujours plus présents qu’ailleurs, des sièges étaient posés autour du feu pour que les ombres des défunts viennent s’y placer, écouter les chants et contempler les danses.
Le saut par-dessus le brasier

Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait des
rhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient d’enjamber une braise !
On faisait aussi sauter ou plutôt passer les troupeaux à travers le brasier presque éteint ou bien on menait les bêtes à travers la fumée ou les cendres du feu de la Saint-Jean pour les protéger des épidémies le reste de l’année.
Et après ?

Une fois le feu éteint, chacun rentrait chez soi avec un tison. La tradition populaire affirme qu’on pouvait le saisir sans risque car “le feu de Saint-Jean ne brûle pas”. Enfermé dans une armoire ou placé près du lit des parents, conservé jusqu’à la Saint-Jean prochaine, il devait préserver la maison de l’incendie, de la foudre et de certaines maladies. On pouvait
aussi en placer un morceau dans son champ pour protéger ses récoltes de la grêle, parfois aussi (disait-on) des chenilles et des limaçons. On utilisait jusqu’aux cendres de ce feu de joie, cendres auxquelles on attribuait des vertus bienfaisantes.
Quant à l’origine de ces feux de Saint-Jean elle-même, elle reste aussi inconnue que les propriétés magiques de ses cendres puisque, selon le grand folkloriste français Arnold Van Gennep, il ne peut s’agir ni d’une résurgence celtique, ni d’un culte romain ou germanique christianisé… Le mystère demeure.

Texte : Marie-Odile Mergnac...
bon vendredi... et bon WE...
bisous...
Bonsoir ma grande. Comment vas-tu depuis ce matin ?Bien j'espère et peut-être en train de regarder "Les années bonheur" sur la 2. Je viens d'entendre "Célimène" de David Martial: il a une de ces formes pour 75 ans !!!Passe une bonne soirée et une douce nuit plus calme que la dernière.
Grosses bises de ta Maman
http://toimichel.centerblog.net
bonjourbon dimanche bonne fete des peres bisous
http://canelle62.centerblog.net
Bonjour ma glace a tout les gouts
J´ait perdu l´avion,que m´enmenée chez toi!
C´est çá la cause de mon retard - Hi hi hi
Mais comme on dit en France,et au Portugal aussi
Mieux vaut tard que jamais ! ! ! ! ! ! ! ! !
Je comence pour te dire mérci,d´éttre lá pour moi..
Mérci aussi pour tes agreables visites.
Que me rend heureuxse.a cháque fois que j´ouvre mon blog.
Chez nous,comme d´habitude,le solleil,ést trés fort
Je suis sortie pour enmenéer mon petit fils,et son copain
Pour une preuve de motocross,les deuxs adorent çá
Mais croyéz moi,je l´ait bién regretée !
La chaleur etait tél,que João pedro ma dit !
Mamie,apélle un táxi pour nous transportér a la voiture.
ll faut dire q1ue la voiture etait parqué a 150 métres de lá !
Le pauvre,lui qui courre tout le temps !
Moi allors,je ne peuvait plus bougér,mes jambes
Ne m´obéissaits pas ! L´enfant qui habitte en moi,
Ma laissér tombér,et la chaleur a apellée mes 62 qans a la raison !
Heureuxsement,on arrivant a la maison,j´ait plongé
Dans la piscine,et finalment,je me suis remis
Promesse,tant quil ferá trõp chaud,Antonieta et le petit
On réste a lá maison,c´est ici que on ést bién !
On a la montagnhe en face,la fraicheur du jardin.
La piscine,et tout ce quil faut pour éttre bién.
Le petit aussi,pense comme moi,allors ça va.
Un gros bisou,plus fraits que l´eau de lá riviére
Que passe a coté de má maison.
Amicalment,toujours lá pour vous aussi.
Antonieta du Portugal
http://antonietaechico.centerblog.net
BonjourJe crois utile de préciser que la photo du sonneur de biniou devant un feu de la Saint Jean est issue du site du groupe de musique bretonne PleinOuest http://pleinouest.org , qui anime ce genre d'animations. La photographe est Rozenn CARIS : http://rozenncaris.com
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